Je vais à Kansas à bientôt, et j’y resterai jusqu’au mois août. Oui, comme la vie change ! Je ne sais pas si je retournerai jamais en France, mais je peux espérer le faire…
Wednesday, October 6, 2010
Sunday, December 27, 2009
Saturday, August 1, 2009
Paris, un rêve… ?
Je ne voulais pas croire Mme. Jansma quand elle a dit, mercredi, « Après retourner chez vous, Paris semblera comme un rêve. » mais je me suis sentie, déjà, qu’elle avait raison. J’ai beaucoup d’experience avec les voyages.
Ça fait moins qu’un jour que je me suis retournée chez moi, mais mon temps à Paris est déjà comme un rêve. Mes camarades, les copains que j’ai recontrés, me manquent : Jacqueline et Kristina et Galen et Eileen et Christa et Anna et Ian. Et de plus.
Je ne pouvais pas croire, mardi, que nous serions partis dans deux jours, et mercredi c’était le même. Ici, c’est quelque chose que j’ai écrite dans ma tête : Je ne peux pas croire que nous partirons dans seulement deux jours. Quand je suis arrivée, je n’ai pas vraiment aimé cette ville, mais maintenant je voudrais vraiment y retourner. C’est un tel rêve, mais j’espère que si je me marie, je pourrai y venir avec mon mari. Paris, c’est vraiment la ville la plus romantique du monde – au moins, c’est la ville la plus romantique que je suis jamais allée. La ville, ce n’est pas ce que j’aime ; ça, c’est l’essence de la ville. C’est quelque chose que j’aimerais partager avec l’homme avec qui je passerai ma vie. Ah, et bien sûr, l’experience de rester à Paris aussi. Je sais, je sais, je dois changer ou bien ajouter à ma vocabulaire française.
La dernière nuit à Paris, les camarades (et Paul) ont décidé de la passer dans la ville, et ils m’ont invitée. Après avoir pensé, j’ai choisi de sortir avec eux. Eileen et Kristina voulaient essayer l’escargot ; alors, nous avons cherché un restaurant qui le servait. Malheureusement, ça n’a abouti à rien (mais je suis contente de sortir avec mes copains).
Un rêve que, je souhaite, je puisse à l’avenir repris.
Monday, July 27, 2009
Merci pour votre main !

Aujourd’hui, je suis revenue au Librairie Gourmande pour voir s’ils ont reçu mon livre. Sans ce livre, je ne vraiment peux pas même commencer mon travail pour notre classe de Français 130 ! Hélas, ils m’ont dit de retourner jeudi pour revoir s’ils l’auront. J’étais vraiment fâchée ! Ils m’ont dit mercredi dernier qu’il arrivera ce lundi (aujourd’hui) !
醫安呢(इ अन) est venu avec moi, parce qu’hier nous avons découvert que nous deux voudrions visiter Sacré-Cœur à Montmartre pour regarder le coucher de soleil au-dessus de Paris, et alors nous sommes partir pour aller au Sacré-Cœur.
En arrivant sur le Boulevard de Clichy, il faisait beau. Le ciel était bleu clair et plein de nuages blancs, et une brise jouait avec les cheveux et donnait des petits bisous sur les joues. (Bon, il faisait beau pendant tout l’après-midi, mais ces phrases lyriques me font heureuse.) Nous avons suivi la route de la chasse de trésor. C’était chouette (spécialement pour moi, parce que nous avions des routes différentes, et mon groupe ne l’a pas finie. Alors, je pourrais voir une nouvelle partie de Montmartre.). Nous avons retrouvé Sacré-Cœur rapidement sans problème, et nous y ont pénétré pour que mon camarade achète un « Monnaie de Paris » (un médaillon). En y quittant, je ne me suis sentie pas bien et nous avons décidé que l’espace aux environs de Sacré-Cœur était trop bondé pour regarder le coucher de soleil, et nous sommes descendus par l’escalade. Nous étions attrapés au bas des escaliers par des vendeurs africains qui essayer de nous vendre des bracelets magiques en croyant que nous étions mariés. Moi, j’ai pu échapper mais j’avais besoin d’attendre mon copain. Finalement, ils ont fini et nous avons voulu partir si tout de suite que mon compagnon m’a tirée au métro. Quel dommage, que nous n’ont pas pu voir le coucher de soleil, mais après cet événement, Montmartre n’a plus l’air chalereux.
Sunday, July 26, 2009
Voulez-vous sortir avec moi ce soir?
Vendredi soir, je suis allée à Duplex, une boîte, avec les camarades. C’était ma première fois à une boîte, et c’était vraiment…une expérience, une expérience qui a coûté 20 euros et que j’ai trouvée plûtot affreuse. Ce n’était pas parce que je n’aime pas danser ; au contraire, je pourrais danser toute la nuit et voudrais continuer encore. D’abord, je m’étais déjà promenadée pendant quatre ou cinq heures, et j’avais été déjà fatiguée. Ensuite, après être partis, nous avons dû revenir à l’hôtel pour que des filles aient trouvé leurs cartes d’itentité, et je suis devenue plus fatiguée. Je n’avais pas vraiment envie de sortir. Mais, je suis partie encore avec les autres et nous y sommes arrivés à minuit et demie ou à une heure du matin.
La meilleure partie de la nuit était quand je suis retounée à l’hôtel (à 3h du matin) et, après avoir pris une douche, j’ai téléphoné à l’un de mes meilleurs amis (avec Skype) et il a répondu (c’était la seule fois que je lui ai téléphoné pendant ce voyage). Nous nous sommes parlés pendant six minutes et puis je me suis couchée.
J’aime danser toujours, mais, la prochaine fois que je serai invitée, il est probable que j’apporterai un livre.
Saturday, July 25, 2009
Fontainebleau
En arrivant à Fountainebleau, j’ai remarqué que les escaliers symmètres étaient vraiment impressionants. J’étais un peu surprise de voir que les bâtiments à gauche et à droit étaient en brique ; c’est un peu comme les quartre immeubles originals de UCLA.
J’avais sommeil et je n’étais pas très alerte ; alors, c’était difficile pour moi d’être impressionnée. Mais, en entrant la chambre de l’empereuse , je n’ai que dit : « Wow. » (Quand je dis ‘wow,’ ça veut dire que je suis vraiment sidérée. C’est un vrai compliment.) Sans savoir qu’elle avait été construite pour la femme la plus importante en France, où bien, pour une femme, j’ai percevu qu’elle avait était construite en amant, pour faire plaisir à quelqu’un spécial, et le soin que je me suis sentie m’a presque accablée. (Bien sûr, elle était jolie comme tout aussi.)
Tuesday, July 21, 2009
Ah, le ciel…
Pendant le soir…
Ça, c’est ce que j’ai fait le 19 juillet.
J’étais solitaire dans ma chambre et je n’avais rien à faire. Bien sûr, j’aurais pu corriger ma composition, et c’était une très bonne idée, mais, pour quelque raison…je ne voulais pas le faire.
Alors, j’ai fait une petite promenade à pied, seule, dans le quartier de l’hôtel. Ensuite, je suis revenue à l’hôtel, hors duquel j’ai rencontré Mme. Jansma, qui était en train de trouver sa clé.
« Bonsoir Mme Jansma ! »
« Oh ! Bonsoir, Cindy ! »
« J’ai ma clé, Madame. »
« Ah oui ? »
« Oui ! » j’ai repondu en sortant ma clé de ma poche.
Nous sommes entrées l’hôtel, avons pris une courte conversation, et avons dit ‘bonne soirée’ à l’autre. Finalement, je suis retournée à ma chambre, qui était obscure et silencieux. Un peu morne. En asseyant, j’ai éteint la télévision et commencé à surfer sur les chaînes.
Soudainement, j’ai vu quelqu’un que j’ai reconnu…Fred Astaire ! Et Audrey Hepburn ! ah, mais, c’est « Funny Face, » l’un des mes films préférés !
J’étais tellement contente d’être seule chez moi.
Friday, July 17, 2009
Quel jour...
Comment est-ce que je peux expliquer la fête du quartorze juillet en France ? J’aime les pensées sensibles, les moments paisibles, les chansons douces. Les promenades en solitude, pendant que la ville se couche. Le silence après un orage se termine. Je peux trouver moi-même au milieu d’une foule. Quand je suis seule sous la nuit étoilée, je me sens complètement satisfaite.
Maintenant, après avoir dit ça, j’aimerais dire que je serai capable de m’amuser même si je suis entourée du bruit. Ce qui ne me fait pas plaisir, c’est l’odeur des cigarettes. Pendant la fête du quartorze juillet (qui commençait du moins pendant le soir du treize juillet), j’ai rencontré un tas de les deux.
Pendant le weekend du quartorze juillet, j’ai d’abord cru que je n’aurait pas eu de choses à faire, parce que les deux filles que je connais les mieux sont parties. (Mme. Jansma m’a ‘ordonnée’ de trouver des camarads avec qui je sortirais le quartorze juillet.) Heureusement, Kristina, Galen, Eileen et Crista m’ont invitée de célébrer la fête avec elles।
Alors, le soir de treize juillet, nous avons fêter au bal de pompiers. C’était…une experience.
Le lendemain, nous avons resté au base de la Tour Eiffel pendant six heures pour voir les feux d’artifices. C’était vraiment chouette ! Pendant qu’on attendait le commencement, nous avons fait les devoirs, lu « Pantagruel », et piqniqué ensemble. Le parc était vraiment plein de gens, et le spectacle a duré presque une demi-heure. C’est un weekend que je me souviendrai longtemps.
(Ce sont Kristina, moi, Christa et Eileen qui sont dans la photo. Galen l’a prise, et Maria nous a joint après.)
Sunday, July 12, 2009
Et pourquoi?
Aujourd’hui, dimanche, j’ai decidé de trouver une buanderie et de faire une promenade dans le quartier asiatique.
Quand j’ai commencé ma promenade, il faisait beau : il y avait une brise fraîche (bien sûr, parce que nous sommes à Paris, l’air n’était pas frais en réalité, mais parce que j’avais été blessé par jambe, j’ai dû rester à l’hôtel depuis un jour ; alors, en dehors, je me sentissais dispose [refreshed]), le soleil brillait doucement et la rue dont je faisais ma promenade était à l’ombre des arbres.
Je suis arrivée à la fontaine publique, celle qui est prés de l’école, et j’étais prête à tourner à gauche pour chercher la buanderie, et quelqu’un a apparu à mon coude. Je me suis tournée, et j’étais tellement surprise de voir un jeune homme. Il m’a demandé, « Savez-vous où on se trouve telle et telle rue ? » et moi, j’ai marmonner une réponse : « Non, mais, j’ai une carte sil vous voulez – » et il ne m’a pas entendue, parce qu’il s’est répété, et alors, je me suis répétée aussi, avec une voix plus haute, et j’ai sorti la carte de mon sac à main en répondrant. Il l’a prise, il l’a regardée, et il me l’a retournée en disant, « Non, merci, elle est trop petite. »
J’ai hocher la tête, fait un petit sourire poli, et j’ai continué à me promener, mais il m’a demandé s’il pourrait m’accompagner. Il m’a suprendue, mais j’ai dit, sans expression, « Comme tu veux. » (J’aurais vousvoyé, mais j’étais si nerveuse que j’aie oublié. Heureusement, il ne m’a rien dit et il m’a vousvoyée toujours.) Il m’a répondue, « Mais non, c’est pas si je veux mais si vous voulez ! » Je me suis répétée tout simplement : « Comme vous voulez. »
Alors, je ne suis pas tournée à gauche, parce que je n’ai pas voulu qu’il save où j’allais, et nous avons continué toute droite. Il a marché en me parlant beaucoup, et mes réponses étaient toute brèves. Et finalement, au coin des rues, je lui ai dit que je devrais tourner à gauche. Il a dit, « Ah, alors, c’est ici que je vous laisserai ? »
Je n’ai rien dit, parce que je ne savais pas que c’était une question.
Il s’est répété : « Je vous laisserai…au moins que vous voudriez que je vous accompagne ? »
J’ai fait une signe avec la tête.
Et puis, il m’a dit, « Voulez-vous prendre un verre avec moi avant de partir ? »
Il m’a suprendue complètement. Après quelque temps, j’ai dit, « Monsieur, j’ai dix-neuf ans ! »
Mais, il a essayé de me convaincre de prendre un verre avec lui depuis longtemps. Finalement, il a renoncé son idée, et, en tendant la main, m’a dit, « C’était un plaisir de faire votre connaissance » (ou quelque chose comme ça). Je n’ai pas voulu serrer la main de lui, mais à la fin je l’ai fait, et finalement il est parti.
Je suis tournée à gauche. Après avoir pris des pas, j’ai pris mon Ipod, mis les écouteurs dans les oreilles, et flâné.
Et j’étais tellement surprise quand me je me suis mise à pleurer.
Friday, July 10, 2009
9
Comment est-ce que je peux commencer à decrire le 9ième arrondissement ? C’est l’arrondissement le plus riche à Paris, mais ce toujours n’est pas comme quelque place y je suis allée (je me dis souvent que Paris ’est une ville qui ne ressemble pas du tout d’autres villes). Au début, j’ai pensé à ‘Rodeo Drive’ à Beverly Hills, c’est une rue que je connais bien, mais ce n’est pas la même. Je n’aime pas faire les comparaisons défecteuse ; alors, j’essayais de ne penser à autres lieux et de rester ‘dans le moment.’
Tout l’arrondissement était bondé, si plein de gens que, d’abord, je ne pouvait pas faire d’observations du quartier. (J’avais peur de me congner contre les autres gens, et de tomber dans la rue par accident.) Après avoir m’établir devant l’Opera, assieds sur ses pas de la porte, je me suis sentie beaucoup moins nerveuse. Ensuite, j’ai fait mes observations :
Si on regarde là-haut, tous qu’on voit sera magnifique : les statues en or, le ciel à l’arrière-plan, les bâtiments et les immeubles surtout. Mais, si on descend son regard, peu à peu les choses deviendra moins impressionante. Moi, je ne comprends pas pourquoi l’arrondissement le plus riche à Paris pourrait être si sale.
Je continuera après prendre plus de photos (mon appareil-photo est momentanément cassé).
Thursday, July 2, 2009
Un voyage après Paris…
Si je fais un voyage après Paris, après cet été, peut-être je voyagerai en Chine. J’adore la Chine, mais c’est un peu trop loin de Californie (après un tel long voyage à Paris, je préfèrai rester près de chez moi). D’ailleurs, le temps de Chine en été est si humide et l’air est plein de poussière et, pendant la nuit, d’insects. Peut-être je pourrais visiter quelque ville qui n’est pas loin de la Californie du nord, et où je serais confortable (je n’ai pas de grand problème avec la chaleur, mais c’est difficile pour moi de résister à l’humidité.) J’aimerais revisiter Monteray, ou bien Los Angeles, où et autour de beaucoup de mes amis habitent (bien sûr, je rendrais visite aux tous). Los Angeles est juste à côté de Beverly Hills, où je travail à temps partiel pendant l’année scolaire ; je sais que mon patron serait très heureuse si je travaillais pendant l’été aussi. Hein, je ne suis pas sure
J’aimerais passer du temps à Pasadena à sa mairie, où il y a un très beau parc paisible. Là, j’aime faire mes devotions, écrire des lettres, faire du crochet, et penser à la vie. C’est un espace très calme, et c’est mon espace vital.
Un autre des mes espaces vital, c’est la jardin juste entre les réfectoires de Perloff et de Schoenburg. La plupart des gens ne le regardent pas comme un jardin (même qu’il s’appelle un jardin), mais pour moi c’est un jardin idéal. Il y a des roses (si on traverse la rue), qui sont mes fleures préférées et à qui je ne suis pas allergique, et il n’y a pas d’autres fleures (à qui je suis en général tellement allergique). J’aime les arbres, il est plein d’arbres, des arbres qui sont tendus incroyablement. Peu de gens y vont, spécialment pendant les vacances, et si il y a des gens là, il serait très calme, même silencieux, encore. Le jardin a une atmosphère de calme, et on peut entendre les voix des oiseaux et se repose sous un arbre ou étudie, comme on veut. .
Le Louvre
Hier, nous sommes allés au Louvre, qui est près de notre hôtel. Nous allons pris le métro. Je n’avais jamais pris le métro français, et cinq de nos élèves et moi, nous avons manqué le premier train, parce que nous n’avons pas su que les arrêts étaient si courts ! Ah, quel disastre !
Je blague :) Oui, nous l’avons manqué, mais ce n’était pas un problème ; nous avons attendu peut-être trois à cinq minutes, et un autre train est arrivé. Et notre arrêt était, « Le Louvre ». Il n’y avait pas d’autres surprises.
En attendant au Louvre, j’ai pris des
photos : à droite, c’est un ascenseur chouette.
Je continuerai un autre jour.

