Sunday, July 12, 2009

Et pourquoi?

C’était écrit le 5 juillet.
Aujourd’hui, dimanche, j’ai decidé de trouver une buanderie et de faire une promenade dans le quartier asiatique.
Quand j’ai commencé ma promenade, il faisait beau : il y avait une brise fraîche (bien sûr, parce que nous sommes à Paris, l’air n’était pas frais en réalité, mais parce que j’avais été blessé par jambe, j’ai dû rester à l’hôtel depuis un jour ; alors, en dehors, je me sentissais dispose [refreshed]), le soleil brillait doucement et la rue dont je faisais ma promenade était à l’ombre des arbres.
Je suis arrivée à la fontaine publique, celle qui est prés de l’école, et j’étais prête à tourner à gauche pour chercher la buanderie, et quelqu’un a apparu à mon coude. Je me suis tournée, et j’étais tellement surprise de voir un jeune homme. Il m’a demandé, « Savez-vous où on se trouve telle et telle rue ? » et moi, j’ai marmonner une réponse : « Non, mais, j’ai une carte sil vous voulez – » et il ne m’a pas entendue, parce qu’il s’est répété, et alors, je me suis répétée aussi, avec une voix plus haute, et j’ai sorti la carte de mon sac à main en répondrant. Il l’a prise, il l’a regardée, et il me l’a retournée en disant, « Non, merci, elle est trop petite. »
J’ai hocher la tête, fait un petit sourire poli, et j’ai continué à me promener, mais il m’a demandé s’il pourrait m’accompagner. Il m’a suprendue, mais j’ai dit, sans expression, « Comme tu veux. » (J’aurais vousvoyé, mais j’étais si nerveuse que j’aie oublié. Heureusement, il ne m’a rien dit et il m’a vousvoyée toujours.) Il m’a répondue, « Mais non, c’est pas si je veux mais si vous voulez ! » Je me suis répétée tout simplement : « Comme vous voulez. »
Alors, je ne suis pas tournée à gauche, parce que je n’ai pas voulu qu’il save où j’allais, et nous avons continué toute droite. Il a marché en me parlant beaucoup, et mes réponses étaient toute brèves. Et finalement, au coin des rues, je lui ai dit que je devrais tourner à gauche. Il a dit, « Ah, alors, c’est ici que je vous laisserai ? »
Je n’ai rien dit, parce que je ne savais pas que c’était une question.
Il s’est répété : « Je vous laisserai…au moins que vous voudriez que je vous accompagne ? »
J’ai fait une signe avec la tête.
Et puis, il m’a dit, « Voulez-vous prendre un verre avec moi avant de partir ? »
Il m’a suprendue complètement. Après quelque temps, j’ai dit, « Monsieur, j’ai dix-neuf ans ! »
Mais, il a essayé de me convaincre de prendre un verre avec lui depuis longtemps. Finalement, il a renoncé son idée, et, en tendant la main, m’a dit, « C’était un plaisir de faire votre connaissance » (ou quelque chose comme ça). Je n’ai pas voulu serrer la main de lui, mais à la fin je l’ai fait, et finalement il est parti.
Je suis tournée à gauche. Après avoir pris des pas, j’ai pris mon Ipod, mis les écouteurs dans les oreilles, et flâné.
Et j’étais tellement surprise quand me je me suis mise à pleurer.

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