J’étais sur l’Avenue d’Italie, juste devant la poste, assise sur un banc, face aux boites aux lettres, avec mon cahier et mon crayon. Je crois que les gens ne me faisaient pas attention parce que j’avais mis les écouteurs de mon Ipod dans les oreilles, et je pourrais regarder la foule sans difficulté (il y avait un ou deux gens qui m’ont regardée, qui avaient l’air suprises, mais la plupart de gens m’ont ignorée). En fait, je crois que les gens qui doivent mettre quelquechose dans les boites aux lettres étaient très conscients de ne pas attirer mon regard.
Avant mon départ, les gens qui sont venus à Paris l’année dernière m’ont dite que les gens à Paris n’attirent pas le regard des inconnus dan la rue, mais j’étais tellement encore surprise. Je ne pensais pas que je faisais si beaucoup de sourires et que j’attire l’œil de n’importe qui sur la rue (relativement). (Et, aux Etats-Unis, je travaille à un magasin où je dois accueille tous qui entre le magasin avec un sourire et une salutation. Alors, je suis habituée aux clients qui ne me répondent pas ; je suis toujours surprise que les commerçants s’attendent aux clients de leur saluer. Il est bon que, à cause de mon travail, je suis aussi habituée de dire ‘bonjour’ quand j’entre un magasin.)
Et puis, tout le monde est allé directement vers sa destination, sans penser aux autres choses, sans regarder les environs. Personne ne s’est promené pour la purpose de se promener, sauf deux enfants sur trottinettes.
Sauf les enfants, la plupart de gens étaient silencieux en allant aux destinations. Si on ne connaît quelqu’un, on ne lui fait aucune attention. Alors, la réaction quand c’est quelqu’un qu’on connaît, cela a l’air plus intime que la réaction des américains, surtout à cause des bis. Mais, en général, si on ne fait pas d’attention aux voitures, la ville sera sans bruit.
Peut-être les femmes parisiennes sont plus feminines que les femmes américaines parce que tous les femmes portent des jupes, des chemises sans manches, ou les deux. Les jupes donnent l’impression que les femmes sont les femmes, separées des hommes.
- Edit -
J’ai oublié de mentionner que, d’abord, j’ai pensé à la foule de New York (la ville) en regardant la foule à Paris , mais, après quelques minutes, j’ai découvert que la foule à Paris n’est pas assez précipitée que celle de New York : la foule parisienne est directe, pas stressé. Les gens à Paris marchent plus lentement, et la scène est plus plaisante à regarder.